Les barrages sécuritaires sur les routes s’inscrivent dans les missions ordinaires des services de sûreté

Les barrages sécuritaires sur les routes s'inscrivent

ALGER – Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a affirmé jeudi à Alger, que l’installation de barrages sécuritaires sur les routes s’inscrivait dans les missions « ordinaires » des services de sûreté pour assurer la sécurité des personnes et des biens et prévenir les accidents de la route.

« L’installation de barrages sécuritaires s’inscrit dans le cadre des missions ordinaires assignées aux services de sûreté afin d’assurer la protection des personnes et des biens et garantir la sécurité et l’ordre public en prenant en compte les indices et données objectifs y afférents », a indiqué M. Sellal dans sa réponse à une question d’un membre de l’Assemblée populaire nationale (APN) sur les barrages installés au niveau des routes wilayales 14 et 19 dans la wilaya de Tissemssilt, lue par la ministre chargée des Relations avec le parlement, Ghania Eddalia.

Il a précisé que l’intensification de la circulation des personnes et des marchandises sur ces deux routes principales et les accidents de la route mortels qu’elle a causés, a amené les services de sûreté à ériger des barrages pour assurer la « sécurité routière » des usagers.

M. Sellal a appelé les usagers de ces routes à « comprendre la situation », soulignant que le nombre de barrages sécuritaires « programmés mensuellement » par les services de sûreté au niveau de ces deux routes « ne dépasse pas la moyenne prévue ».

Il a ajouté enfin, que les autorités publiques prenaient en charge le phénomène des accidents de la circulation sans cesse croissants à travers notamment une série de mesures pratiques outre la révision de la loi 01-14 relative à l’organisation, la sécurité et la police de la circulation routière.

Source : APS.DZ

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3 Commentaires de nos lecteurs

  1. Autre pays, autre monde:
    Il y’a quelques années j’ai fait Marseille- Calais en voiture en aller et retour, soit près de 2000 kms.
    Et durant ces 2000 kms je n’ai rencontré qu’…1 seul contrôle policier !
    2 policiers avec une lampe torche dans une petite ville perdue du centre de la France, l’un deux m’a d’abord demandé de m’arrêter puis s’est vite ravisé en voyant mon matricule algérien.
    Le voilà le paradoxe M Sellal, l’algérien se sent plus libre et plus à l’aise dans les pays étrangers que sur sa propre terre.
    Sa propre terre où le seul moyen pour lui d’éviter le véritable enfer quotidien des embouteillages, est de rouler comme vous en véhicule blindé escorté par plusieurs véhicules toutes sirènes hurlantes afin d’écarter le chaland.
    Conclusion: qu’il fasse beau, qu’il vente ou qu’il pleuve, Vivent les 2 roues !
    Un petit sentiment de liberté sur des routes cloisonnées, c’est inestimable

  2. Explication particulièrement risible. vu que le nombre d’accidents de la circulation est plutôt proportionnel au nombre de barrages dit « fixes ».
    Comment un barrage de quelques dizaines de mètres peut-il empêcher qu’un accident se produise sur un tronçon de route de 50 kms ?
    Si l’on suit la logique sellalienne, la solution idoine pour stopper l’hécatombe sur les routes est d’installer 1 barrage tous les 50 mètres, et ce, de Maghnia à Tebessa et d’Alger à Tamanrasset.

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