C’est sur les ondes de la chaine de radio Chaine III que le sous-directeur au service de la prévention routière de la DGSN, Mr Ahmed Naït El Hocine a affirmé que la révision de certains dispositifs réglementaires et législatives devaient s’opérer de manière urgente au sujet de la sécurité routière en Algérie.
En effet, ce haut responsable de la DGSN a parlé d’insuffisance au niveau de la réglementation face aux nombreux accidents de la circulation en pointant la responsabilité des auto-écoles dans obtention du permis de conduire mais aussi de l’absence d’un système qui pourrait distinguer les contrevenants primaires aux multi-récidivistes.
Lors des assises des transports, la DGSN a revendiqué des mesures coercitives à l’encontre des contrevenants puis le commissaire a mis l’accent sur le fait que les usagers de motocycles de 50 cm3 n’étaient pas soumis à l’obligation d’avoir un permis de conduire et que ceux qui roulaient en 125 cm3 n’étaient pas inscrits au fichier des cartes grises et ne disposaient pas de plaques d’immatriculation permettant l’identification par les services de sécurité. Selon le commissaire Mr Ahmed Naït El Hocine : dans le cadre de la sécurité routière, cette situation rend le travail des services de sécurité plus compliqué.
Crédit photo : D.R
Source : Le Soir
Mon avis à moi c de régulariser les gents qui en acheter leur moto en règle avec reçu et apppré fate veux plizir à changé la lois …. Car une lois qui écrase une lois son régularisation … C du jamais vu